Un parcours que j'ai fait en stage l'an dernier.
Si vous avez des questions, contactez-moi.
2ème degré : entrée 1 : Risquer la vie
• Enracinement et questionnement existentiels :
- Au-delà des assurances et des certitudes nécessaires, l’homme a besoin de risquer ; il aime les défis.
- Risques et défis : - des risques et des défis insensés et mortels : « jouer avec la mort ».
- des risques positifs : une existence ouverte et accueillante à l’inconnu et à l’imprévisible : la vie se jouant comme aventure risquée.
- Risques et défis : quelle(s) signification(s) ?
• Apports culturels :
- Dimensions anthropologiques constitutives : - l’homme ne se satisfait pas du déjà connu ; il se construit en tant qu’être humain en affrontant le risque de l’inconnu et du nouveau,
- la capacité créatrice : une capacité spécifiquement humaine.
- La recherche du nouveau, de ce qui n’est pas encore connu : fondement des découvertes et des inventions (ex : dans le domaine des sciences ; les enjeux : libération de l’homme ou désir de toute puissance et d’asservissement ?)
- La construction de l’identité humaine comme construction par l’être humain, sujet autonome, de sa vie et de son histoire, en toute liberté et en lien avec autrui.
• Ressources de la Foi chrétienne :
CROIRE : - le Dieu de la promesse propose à l’homme un chemin à travers le risque de la liberté,
- la foi n’est pas une assurance tous risques, mais acte de confiance, aventure risquée (ex : MT 4, 18-22 et par ; MT 10, 37-39 et par. ; MT 14, 22-33 et par. ; LC 5, 1-11).
CELEBRER : l’Eucharistie comme célébration de l’alliance nouvelle en Jésus-Christ (« le sang de l’alliance nouvelle ») et de l’engagement à risquer sa vie à la suite du Christ : « voici mon corps, ma vie donnée, risquée pour vous ».
VIVRE : dans une optique chrétienne de l’humain, prendre conscience des valeurs (vie) et des non-valeurs (mort) mises en jeu par les avancées de la recherche scientifique et juger en connaissance de cause.